Retrouve une de mes anecdotes lorsque je porte ma casquette d’opticienne thérapeute, en magasin.
Un client revient en magasin car sa vision fluctue et qu’il a encore des difficultés à adapter ses verres progressifs (vision multifocale pour voir de loin à de près). Et oui, on sait bien qu’en général, cela prend un peu de temps d’adaptation (sans rentrer dans les détails).
Quand il reste fixe et focalisé sur un point, ca va.
C’est-à-dire que en étant concentré, la vision n’est plus floue.
Mais quand il tourne la tête ou regarde un peu partout autour de lui (même sans coup de tête ni rapidité), sa vision devient floue.
C’est ce que j’observe avec lui, au magasin.
– Est-ce que cela le fait tout le temps?
Sa réponse:
– Non, juste quand je suis au travail.
– Qu’est-ce que vous faites comme activités professionnelles?
– Je m’occupe de personnes en difficultés.
A ce moment-là, je perçois la passion qu’il a de son travail et son dévouement, (sans limite).
– Avez-vous des activités de loisirs de détente? ou est-ce que vous marchez dans la nature parfois? (on est en Lozère, département très proche de la nature)
– Oui, j’habite en forêt. Je profite de cette ambiance-là pour être calme. Pas comme en ville, au boulot, où je suis à fond.
– Est-ce que vous avez ces mêmes soucis de vision à la maison?
Après réflexion, il me répond Non.
Notre vision change selon notre environnement.
Je lui propose une expérience non conventionnelle d’opticienne, qu’il accepte (après lui avoir présenté mes autres activités professionnelles de thérapeute).
– Continuez à regarder comme vous le faites, sans focus précis, ET poussez votre respiration à ce qu’elle descende au moins jusque dans vos poumons. Votre respiration actuelle est très en surface.
Il essaie, plusieurs fois. Il se tourne et bouge. IL respire plus fort et plus bruyamment.
– Comment cela se passe? Quelle est votre qualité de vision ainsi?
– Et bien, c’est surprenant mais c’est beaucoup mieux. J’ai du mal à le croire.
– En fait, vous le saviez déjà car c’est ce que vous faites quand vous êtes chez vous; vous prenez le temps de respirer et de vous poser.
Il acquiesce. Je continue.
– Je vous ai mis en évidence votre différence de comportement qui saute littéralement aux yeux. Eux-mêmes vous le disent. Notre corps nous parle, et là ce sont vos yeux. Je vous invite à davantage vous poser et respirer avec tout votre corps afin que vous ayez une bien meilleure qualité de vision.
Le client prend note de mes remarques.
Notre façon de vivre et de faire est en lien avec notre être, même pour la vision optique.
Il sait que c’est ce qu’il lui faudrait suivre. Il n’a quand même pas trop envie de changer ses habitudes (ce qu’il me dit clairement).
– Malheureusement, ce n’est pas moi qui ait fixé la limite d’agitation et de bien-être visuel, ce sont vos propres organes de vision optique. Il serait sage de suivre leur message, pour votre santé générale.
Il entend ce que je lui dis. Il préférerais que ce soit une autre solution qui l’aide, et non un changement et un effort à faire de sa part. Pas facile de se dire qu’on est acteur de son bonheur et sa santé, et d’agir en conséquence.
J’estime avoir fait mon job de conseillère opticienne-thérapeute.
La balle est dans son camp, comme on dit .
Aparté:
Avec des hypermétropes, cette situation est courante. Leur qualité de vision est directement liée à leur qualité d’ancrage énergétique.
Concrètement, par leur capacité à respirer avec tout leur corps, de manière posée et sereine, pour faire face à leurs activités quotidiennes.
Nous savons que tout est lié, même si nous ne mettons pas en pratique tout le temps. Pour nos yeux, c’est pareil, une approche autre que conventionnelle est possible.
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