Le bonheur est-il en nous?

Le bonheur est un sujet sur lequel on écrit beaucoup. Il y a autant de blogs que d’auteurs. J’apprécie vraiment celui de Pascal Quionquion, qui a une vision générale et très pratico-pratique. C’est lui qui m’a inspiré cet article. Il organise un évènement où nous pouvons partager nos points de vue sur le thème “Le bonheur est à portée de main”. Vous pouvez retrouver la version podcast (/spotify) de son article ici, et directement sur son article pour les autres plateformes.

Pourquoi ai-je titré le bonheur est en nous? Pour cela, je vous invite à lire la suite.

Le bonheur est en nous.

Et oui, le mot bonheur est au centre de nous et sur le titre de ce blog aussi.

Bonheur –> bonne heure –> moment présent –> qualité de vie

Voici ce à quoi je pense quand on me parle du bonheur.

Profiter de chaque moment, qu’il soit haut en vibration ou pas.

Chaque chose est à sa juste place.

Tout est utile.

Autant la petite bête, comme l’araignée qui fait peur aux grosses bêtes,( comme les humains), et qui se nourrit des moustiques pourtant friands du sang humain!

Comme la maladie, qui est un signal sur la difficulté de communiquer.  Avoir du mal-à–dire les choses. Exprimer nos émotions, rester centré énergétiquement sur soi, oser dire ce qui ne nous correspond pas. Là est le message de la maladie pour nous informer que nous nous éloignons de nous-même et de notre bien-être aussi.

Le bonheur est partout autour de nous.

Savoir décoder les signes visibles et perceptibles de nos vies est la base de notre richesse intérieure.

Comment paraitre heureux avec une paire de nouvelles chaussures alors qu’on ne connait pas la sensation difficile de n’avoir plus de chaussures en état de fonctionner?

Comment être heureux seul sans qu’on est vécu l’invivable avec une personne envahissante, toxique, voir manipulatrice, sans dire autre chose?

Et puis, il y a aussi, tous les bonheurs que nous pouvons apprendre à aimer en conscience.

Comment profiter d’un trajet obligatoire qui s’éternise?  Des bouchons, des retards de métro, que sais-je?

Peut-être en y ajoutant, une pincée de valeur individuelle:

– pour certains ce sera de chanter,

– réfléchir au meilleur petit plat à préparer en arrivant,

– lire ce qu’on ne prend jamais le temps de faire;

– discuter avec son voisin ou sa voisine,

– se détendre par la respiration profonde, ( mon ami Eric, vous aide sur cet article)

etc.

Et le bonheur de comprendre est pour moi primordial.

Comprendre que tout a un sens, même si on ne le voit pas immédiatement; c’est mon questionnement quotidien. Qu’est-ce qu’il se passe là? Que puis-je en tirer, en retenir?

Comprendre que nous sommes les fruits de nos parents, qui le sont de leurs parents, et qu’ainsi nous sommes les fruits de notre arbre généalogique. Et relier nos mal-a-dies d’eux à nous.

Comprendre notre incarnation sur terre aujourd’hui, en cette période charnière dans l’humanité. Va-t-elle basculer dans le transhumanisme avec l’humain mélangé à des parties robotiques, ou bien est-ce que l’humanité va décider de choisir la voix du cœur, de la bienveillance et la solidarité entre terriens?

Comprendre que je peux être actrice de mon bonheur par mes pensées et mes actes, est un fait que j’apprécie. Et c’est la lecture de ce roman Kilomètre Zéro qui m’a le plus marqué à ce sujet pour que je puisse encore m’en souvenir.

Mais profiter du bonheur, c’est aussi accepter les deuils.

Nous ne pouvons pas toujours être sur notre petit nuage de bonheur personnel. Parfois, nous sommes très proche de la terre, lorsque nous portons nos proches en terre.

Ce sont ces périodes difficiles et très douloureuses, qui nous permettent de nous détacher et nous poussent à avancer et à grandir. Même si on les comprend, elles restent toujours émotionnellement tsunamiques!

Retrouver le bonheur, c’est accepter de passer les étapes du deuil. Si cela est votre cas aujourd’hui, je vous invite à lire mon article récapitulatif et leurs aides associées.

Et le bonheur, c’est aussi accepter l’amour des autres pour soi;

Ainsi, sur deux de ses émissions, Pascal Quionquion aborde ce thème sensible d’acceptation de l’amour des autres soi. Vous pouvez retrouver l’ensemble de cet article ici pour la première partie. Et pour la seconde, c’est là  !

Pour vous donner envie de lire ces articles ou d’écouter cette émission en podcast, voici une question, que je trouve bien choisie:

Refuser l’amour est-il une forme de maltraitance ?

Qu’en pensez-vous?

Pour résumer sur le bonheur qui est à portée de main

Je suis persuadée que nous sommes tous acteurs et actrices de nos vies, nos malheurs et nos bonheurs.

Préférons-nous voir le verre à moitié vide ou à moitié plein?

Avez-vous envie de voir avec des verres teintés voir vie?

Préférez-vous plier comme le roseau ou casser comme le chêne, lors des tempêtes?

Préférez-vous subir votre lignée ancestrale ou la libérer et créer la votre librement?

Si vous avez envie, je peux vous accompagner pour réaliser cela : liberté, authenticité, fierté d’accomplir et force vitale en nous pour faire face aux obstacles de notre vie.

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Et vous, pensez-vous que le bonheur est à portée de main?

Avez-vous besoin d’aide pour y arriver?

Comment procédez-vous au quotidien?

Déposez vos réponses dans la partie des commentaires tout en bas de la page. MERCI!

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Cet article a 5 commentaires

  1. Eric

    Oui le bonheur est à portée de main … ici et maintenant si nous le décidons … mais toujours en pleine conscience et authenticité 😎

  2. Patrick

    J’ai l’impression que le bonheur durable, c’est tout d’abord un bonheur qui passe par la connaissance et l’acceptation de soi puis d’autrui. Ai je raison?

    1. Oui Patrick, c’est ce qui fonctionne pour moi, en effet.
      Apprendre à se connaitre, comprendre nos relations et notre place dans l’univers 🙂 !

  3. ARNAUD

    Je préfère de loin le vers à moitié plein 😉 Merci pour cet article rempli de bonheur !

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